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Cahiers 6
 

 

L'origine et la continuité de la vie
L'immortalité
Notre part divine et notre part humaine

Introduction et traduction : Michel Guillaume

Association LSPS, Suresnes, 2020

175 Pages 

ISBN : 978-2-35682-877-4

Disponible

 

Ce Cahier traite de la conception Soufie du karma et de la réincarnation.

L'homme n'est pas une machine faite pour fonctionner automatiquement, déterminée par des actions externes, forcée de porter le fardeau de ses actions passées. Mais l'homme est l'ingénieur qui est responsable de ses actes et ainsi le maître de ses actions, maître de sa destinée.


« Lorsque vous vous regardez philosophiquement vous-mêmes…
plus vous devenez conscients de la réalité,
moins vous faites attention à votre petit moi ».

Aussi longtemps que la conscience de l'être extérieur se tient devant les yeux de l'âme, le petit moi « est comme une montagne devant nous, nous ne pouvons rien voir d'autre ». Et le seul moyen de l'enlever est l'amour, « le grand solvant dans lequel fond le moi ». Afin de connaître la relation qu'il y a entre l'homme et Dieu, l'on doit « oublier la fausse identité que l'on a conçue dans le mental depuis le moment où l'on est né sur la terre », et « faire bon usage de la connaissance de Dieu ».


« Il n'y a pas de liberté sans mort ; tel est le secret des Soufis ». C'est «jouer à la mort» ici sur la terre, ce qui signifie s'oublier soi-même, comme un acteur sur la scène doit s'oublier lui-même pour jouer son rôle ; c'est « connaître le sens réel de la liberté et comprendre le sens de la vie ».

 

 

Ce cahier nous en dit un peu plus sur le caractère de la manifestation, sur la vie et la mort, sur l'origine de la vie. Plusieurs chapitres parlent à nouveau de l'âme, de son origine, de son «voyage» et de sa « nostalgie du retour ». On pourra trouver quelques répétitions de ce qui a été déjà étudié dans les cahiers précédents, mais une étude attentive montrera toujours de nouvelles facettes du sujet. Il est intéressant, aussi, de constater comment Pîr-o-Murshid Inayat Khan développe et résume souvent toute une suite d'idées en un seul chapitre.

Ce Cahier traite également de la conception Soufie du karma et de la réincarnation. L'homme n'est pas une machine faite pour fonctionner automatiquement, déterminée par des actions externes, forcée de porter le fardeau de ses actions passées ; mais l'homme est l'ingénieur qui est responsable de ses actes et ainsi le maître de ses actions, maître de sa destinée. Qui plus est, Hazrat Inayat avertit que :

« Lorsque vous vous regardez philosophiquement vous-mêmes... plus vous devenez conscients de la réalité, moins vous faites attention à votre petit moi ».

Quand nous voyons la totalité de la vie comme une, la réalisons comme une, nous trouvons le secret de la libération spirituelle.

Une étude de la destinée et du libre arbitre continue les réflexions que peuvent évoquer ces chapitres. La volonté de Dieu est faite sur la terre, quand le libre arbitre de l'homme travaille pour faire la volonté de Dieu : libre arbitre et destinée doivent œuvrer ensemble.

Et puis vient la question de connaître notre part qui est Dieu et notre part qui est homme. Aussi longtemps que la conscience de l'être extérieur se tient devant les yeux de l'âme, le petit moi « est comme une montagne devant nous, nous ne pouvons rien voir d'autre ». Et le seul moyen d'enlever cette montagne est l'amour, «le grand solvant dans lequel fond le moi». Afin de connaître la relation qu'il y a entre l'homme et Dieu, l'on doit « oublier la fausse identité que l'on a conçue dans le mental depuis le moment où l'on est né sur la terre», et « faire bon usage de la connaissance de Dieu ».

Le dernier chapitre, La Liberté de l'Âme, résume les enseignements de ce cahier et conclut : «il n'y a pas de liberté sans mort ; tel est le secret des Soufis ». C'est « jouer à la mort » ici sur la terre, ce qui signifie s'oublier soi-même, comme un acteur sur la scène doit s'oublier lui-même pour jouer son rôle.

« C'est une sorte de mort quand quelqu'un ne pense plus à lui-même, mais à la chose qu'il veut réaliser » ; c'est « connaître le sens réel de la liberté et comprendre le sens de la vie ».

 

 

 

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